Le collectif préexistait avant 2020 mais il était en sommeil depuis le covid et le confinement. Il s’est redynamisé en 2023 lors d’une réunion en avril. Cela a permis un redémarrage et une structuration solide.
Composition
Le collectif est constitué de 25 organisations, dont une vingtaine vraiment actives au sein du collectif, des syndicats (CGT, CFDT, FSU, …), des associations (Aix-Solidarité, ASTI, l’ATMF, Attac, la CIMADE, la LDH, la Libre pensée, …) et des partis politiques (gauche éco-socialiste, Génération-S, LFI, PCF, PG, le POC, PS, les Verts …).
Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes, après les actions de rue des 3 et 4 mars 10h15 au marché d’Encagnane et haut Cours Mirabeau , Attac pays d’Aix et la LDH Aix vous donnent rendez-vous au 3C pour vous informer, échanger et débattre sur les luttes féministes avec un focus sur celle contre la réforme des retraites.
En présence de Gilda Derouet.
Attac pays d’Aix appelle à participer à la Chorégraphie des Rosies
Soyons nombreuses et nombreux !
Mardi 14 février de 18h à 20h - IEP Aix - 25 Rue Gaston de Saporta -Aix
organisée par Solidaires Etudiant.e.s Sciences Po Aix. Attac pays d’Aix est invité comme intervenant
Avec Vincent Vioujas professeur et juriste, Isabelle Le Couédic professeure de SES, militante d’Attac pays d’Aix, Arthur Beauchet syndicat Solidaires Etudiant.e.s.
Samedi 28 janvier de 15h à 17h
au Café associatif le 3C , 23 BD Carnot - Aix
Mardi 17 janvier de 18h à 20h au 3C : Attac pays d’Aix offre une galette citoyenne à ses adhérent.e.s, sympathisant.e.s et partenaires avec quizz et échanges sur nos prochaines actions
Un petit message entre deux réveillons pour vous donner quelques infos et vous donner rendez-vous en 2023 lors de la galette citoyenne d’Attac pays d’Aix le mardi 17 janvier à 18h au café associatif le 3C à Aix.
Appel à dons : en 2023 aidez-nous à amplifier nos actions !
En 2022, Attac s’est mobilisée pour la justice sociale et climatique
Mercredi 30 novembre de 19h à 21h
Attac au 3C : " Vous avez dit travail ? "
avec Paul Bouffartigue, sociologue, directeur de recherche dans le domaine de la sociologie du travail.
Travail insoutenable, droits sociaux en lambeaux : les deux face du projet néo-libéral. Comment solidariser ce et ceux que le néo-libéralisme oppose ?
Nous aborderons aussi le projet de réforme des retraites.
Nous vous attendons nombreuses et nombreux !
Samedi 26 novembre de 10h à 12h
Maison de Quartier la Mareschale – 27 Av de Tubingen – Aix
THEATRE FORUM avec la LDH Aix et Attac pays d’Aix ouvert à tout.e.s
Les médias et la qualité de l’information
Ce mardi 28 avril, la Commission européenne a annoncé avoir finalisé des négociations en matière de commerce et d’investissement avec le Mexique. Alors que la pandémie de coronavirus révèle au grand jour les fragilités économiques, sociales et sanitaires engendrées par la mondialisation, et que chaque jour des voix s’élèvent pour appeler à « produire davantage en Europe », la Commission poursuit, comme si de rien n’était, son agenda agressif d’approfondissement de la mondialisation néolibérale en négociant des accords à tour de bras. Le collectif Stop TAFTA/CETA, avec ses partenaires appelle à cesser immédiatement ces négociations et à procéder à une relocalisation écologique et solidaire des activités économiques.
#PourLeJourDapres - #PlusQueJamaisLe1erMai
Texte de Quelou, Attac Aix, dit par 14 voix confinées, l’auteure et des militants Aix, Marseille, la Ciotat et des proches. Comment les derniers de cordée deviennent les premiers par temps de Covid 19 ? Réalisation Justin Carette.
* Professeur André GRIMALDI, professeur émérite de diabétologie
Cette lettre est adressée à ses collègues de l’hôpital parisien, La Pitié Salpétrière. Elle
a été publié sur le Monde.fr du 3 avril 2020
Chers toutes et tous,
L’unité du pays pour respecter les consignes de confinement et
donner la priorité absolue aux soins et aux soignants est totale.
L’appel du chef de l’Etat à faire taire toute critique, voire tout débat, apparaît au mieux inopportun, au pire inquiétant. Le temps viendra, nous dit-on. Mais quand ce temps sera venu, on risque fort de nous dire : « l’heure est à pleurer nos morts et à reconstruire le pays dans l’unité. Le moment n’est pas à la polémique. Regardons l’avenir plutôt que le passé » . Reste que pour avoir et garder la confiance des citoyens , il faut certes communiquer dans la transparence,mais il faut aussi être capable de reconnaître ses fautes .
L’extension géographique de l’épidémie de coronavirus a produit une crise sanitaire mondiale et créé une situation tout à fait nouvelle. Les souffrances humaines que la diffusion du virus provoquent sont énormes, elles s’ajoutent aux autres drames de santé publique qui touchent plus particulièrement les pays dominés par les grandes puissances et le grand capital avec la complicité de leurs classes dominantes. Il faut de toute urgence libérer des moyens financiers très importants et cela en recourant le moins possible à de nouvelles dettes.
Couvre-feux, contrôles policiers multiples, toute-puissance de l’administration, emballement de l’industrie technosécuritaire : la pandémie de Covid-19 se traduit, en France, par un contrôle accru des populations, suspectées par principe de ne pas participer à la « guerre » contre le virus.
« Nous ne renoncerons à rien, surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer, surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été, surtout pas à la liberté », affirmait Emmanuel Macron le 11 mars dernier, il y a seulement trois semaines, dans le cadre la première journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme. Depuis, avec le confinement, tout semble avoir changé, le monde a basculé.
Des drones équipés de haut-parleur survolent les rues des métropoles françaises, intimant aux passants l’ordre de rentrer chez eux. Le gouvernement a décrété l’état d’urgence sanitaire et des couvre-feux ont été instaurés dans une centaine de villes, qui comptent au total plus de 2 millions d’habitants.
Dans une opinion intitulée « Le libéralisme en mode 4X4 » et publiée le 26 mars 2020, Dominique Seux, commente l’actualité et la pandémie à laquelle le monde fait face aujourd’hui. À ses yeux, trop c’est trop.
Ainsi, écrit-il : « Au début de l’épidémie, on avait beaucoup entendu qu’elle était la fille cachée de la financiarisation de l’économie et du commerce mondialisé. Ensuite, l’austérité budgétaire a servi d’explication pour le dramatique débordement du système de santé. Et voilà que ces jours-ci, on lit que c’est au libéralisme (néo ou ultra, cela va de soi) qu’il faut en vouloir pour le manque de masques et de tests capables de détecter le Covid-19. N’en jetez plus, c’est trop ! ».
Qu’est ce qui provoque son indignation ? Le manque de tests et de masques, le manque de ventilateurs, de lits et de personnel soignant, ou l’austérité budgétaire qui a organisé la casse du système de santé ? Non, c’est le fait que le néolibéralisme et la financiarisation de l’économie soient jugés responsables de la situation actuelle.
Une prise de conscience plus massive des impératifs écologiques et sociaux est possible, qui permettrait de redessiner nos paysages politiques. Cet optimisme raisonné peut se nourrir de quelques arguments. La crise agit comme un terrible révélateur.
Un ministre de l’Économie qui demande aux grandes entreprises de ne pas verser de dividendes à leurs actionnaires, un président qui fait l’apologie de l’État-providence et promet une relocalisation de notre production sanitaire, une présidente de la Commission européenne qui suspend les traités budgétaires européens : il faut se pincer pour y croire. Ces mots sont évidemment bons à entendre, bien qu’ils ne parviennent pas à effacer le passé d’un saccage de l’hôpital public, ni à faire oublier une dramatique pénurie de matériel. Mais que va-t-il rester de ces déclarations quand la pandémie sera enrayée ? De quoi demain sera-t-il fait ?
Mardi 24 mars le CA s’est tenu par zoom avec des collègues d’Attac La Ciotat (Lina),Marseille (Christine) et Gardanne (Jean-Luc).
C’était dans un État, appelé Macronie, les premiers de cordée en étaient les génies, les forces vives, les guides irremplaçables,
A la vie du pays, seuls indispensables.
Méritant largement tout l’argent qu’ils gagnaient
Pensant que la richesse, c’est eux qui la créaient.
Bien au chaud dans leur bulle, entre gens honorables.
Ils n’avaient pour les autres qu’ignorance confortable.
Chauffeurs d’autobus, infirmières et caissières,
Agents de propreté, postiers et boulangères ,
Ouvriers, ouvrières, agents électriciens ...
fondus dans de le décors, tous ces gens n’étaient rien.
Info presse 23 mars 2020
« Nous ne voulons pas d’un retour à leur normalité, car la normalité néolibérale et productiviste est le problème. »
C’est ce qu’Attac essaye de démontrer dans cette note en proposant des solutions pour répondre à l’urgence sanitaire de manière efficace et juste tout en esquissant, dès maintenant, la révolution écologique et sociale qui devra être mise en oeuvre pour permettre aux peuples de reprendre le contrôle sur leurs vies et sur leur avenir.
Pour consulter la note, merci de cliquer sur ce lien
Au sommaire