La seule alternative aux Cne et Cpe, ce sont de vrais
Cdi pour toutes et tous... ça regarde tous les salariés pas
seulement les jeunes.
Tous dans la rue et en grève le 7 mars
Quel culot ce Villepin
de réclamer la flexibilité pour les autres et de se dire
« inflexible » en ce qui le concerne, après avoir imposé
un projet anti-démocratiquement à la hussarde et alors qu’il est
manifestement minoritaire dans le pays
Il faut exiger que le
gouvernement recule et parte !
La gauche unie doit
avoir une alternative simple : de vrais Cdi pour les
jeunes !
1°) D’une part, pour
gagner le 7 mars et après, il faut oser mettre en cause le
gouvernement de Villepin et exiger des élections anticipées !
Salariés, Jeunes,
contre le Cne et le Cpe,
- ne gardez pas dans votre
tête le fait que Villepin pourrait vous empêcher de gagner
- ne vous laissez pas
endormir sur le fait qu’il faudrait « attendre 2007 ».
Villepin, lui, pourtant battu dans tous les sondages, il ne part
pas, il s’entête, et tout de suite !
C’est donc tout de
suite que le défi de pousser dehors ce gouvernement nous est
lancé ! Dehors Villepin !
On ne peut admettre
que ce chef de gouvernement qui méprise non seulement le peuple, la
jeunesse, mais aussi le Parlement qu’il traite depuis 9 mois à coups
d’ordonnances, d’état d’urgence, de 49-3, et qui, alors qu’il est
archi minoritaire dans l’opinion, écrase toute concertation, se
déclare, de façon provocatrice « inflexible » comme il
vient de le faire alors que le mouvement monte partout contre lui.
2°) d’autre part, les
sondages donnent dix points d’avance à « un
candidat de gauche quel qu’il soit » par rapport à « un
candidat de droite quel qu’il soit »...
Il reste donc à la
gauche à être à la hauteur des attentes de la majorité du peuple de
gauche, d’avoir un programme commun pour un candidat commun :
Des emplois, des
vrais, à plein temps, en Cdi, il y en aurait immédiatement des
centaines de milliers de disponibles pour les jeunes :
- si on cesse de
retarder les départs en retraite, d’imposer un nombre d‘annuités de
cotisations inatteignable, si on rétablit la retraite à 60 ans,
baissant ainsi la durée du travail sur la vie
- si on remplace les
partants, au lieu de supprimer les postes dans le service et la
fonction publique (17 000 postes supprimés à France Télécom, 6000
postes supprimés à Edf, des dizaines de milliers dans la fonction
publique alors qu’elle en a tant besoin... )
- si on n’impose pas
des « emplois vieux », des « doubles CDD de seniors
de 18 mois entre 57 et 60 ans », si on n’allonge pas le départ
des fonctionnaires de 65 à 67 ans...
- si on n’impose
pazsdes heures supplémentaires plus nombreuses et moins payées,
si on n’allonge pas les contingents annuels d’heures sup’, si on
organise le retour à de vraies 35 h pour toutes et tous, sans perte
de salaires, avec embauches correspondantes.
A ces conditions, la
conjoncture est favorable, il y a le départ massif des
« babyboomers » de 1945-47...et des vrais emplois pour les
jeunes !
La précarité cela ne
s’organise pas, cela se combat !
Il ne faut pas user de
la loi pour faciliter la précarité, il faut la
freiner !
Pas besoin d’inventer
des « Cpe » de gauche, avec
« formation » incluse et « baisse de charges
incluses » comme le proposent des secteurs du Ps... Il n’y a
qu’à imposer la baisse du nombre de Cdd et d’interim
autorisés :
- pas plus de 5 %
d’emplois précaires (Cdd, interim) dans les entreprises de plus
de 20 salariés, et dûment motivés pour remplacement de salariés
absents.
- majoration plus
dissuasive à 15 % d’Ipe (indemnité de précarité d’emploi) aussi
bien pour les Cdd que pour les intérims.
Les licenciements cela
ne se facilite pas, cela se contrôle, non seulement a posteriori
mais à priori ! Dans notre pays, contrairement à ce qu’on nous
dit, il n’y a pas aucune difficulté à licencier même avec motif,
hélas, la vraie difficulté c’est d’avoir davantage de droits que
n’en donne actuellement le Code du travail, pour ne pas être
licencié abusivement !
- Etablissement d’un
nouveau contrôle administratif sur les licenciements abusifs,
boursiers, sans cause réelle et sérieuse !
- Renforcement du
motif : lorsqu’il y a un « doute manifeste » sur le
motif allégué, l’inspection du travail pourra suspendre le
licenciement, le salarié restera dans l’entreprise, l’employeur
saisira le juge...
Au sein du Ps, c’est un
extraordinaire échec de la « synthèse » du Mans :
il y autant de positions publiques sur ce qu’il faudrait opposer au
Cpe qu’il y a de candidats...
Trois ou quatre
« projets » du Ps... dont le point commun est de ne pas imposer au Medef, un Cdi et un bon salaire
pour les jeunes, de ne pas limiter la précarité par la loi, et de ne
pas contrôler mieux les licenciements !
1°) Un « Contrat
Sécurité Formation » (François Hollande)
Dans une interview au
Journal du Dimanche du 19 février, François
Hollande a défendu l’idée d’’un projet de "Contrat Sécurité
Formation" qu’il opposait au Contrat Première Embauche. "Nous proposerons pour les jeunes de moins de 26 ans sans
qualification un ’contrat de sécurité formation’ ",
explique-t-il. Ce contrat prévoierait, pour toute embauche de jeunes
en contrat à durée indéterminée, une prise en charge de la totalité
de la formation par l’Etat "soit par des subventions
directes" aux employeurs, "soit par des
allègements de charges". L’employeur sera dispensé de cotisation
Unedic "pendant les deux premières années"
d’embauches. "Pour financer ce processus, nous
recyclerons toutes les exonérations accordées sans contrepartie aux
employeurs", a précisé le premier secrétaire qui a repris cela
en défendant la motion de censure contre le gouvernement Villepin.
- Critique :
c’est à peine un « Cpe » de gauche ! Qu’est-ce
que c’est que cette histoire de nouveau « contrat de sécurité
formation » ? Une autre façon de verser de l’argent aux
employeurs et actionnaires ? Ce, sans préciser les seuils, la
durée et la nature de la formation ? Sans préciser les
garanties pour le jeune ? Il a été mille fois prouvé que les
allégements de cotisations (le Premier secrétaire ne devrait pas
parler de « charges » mais de « cotisations »)
ne créent aucun emploi. Si un jeune « sans qualification »
est en difficulté, améliorez la formation initiale ! Si vous
voulez l’insérer, payez le bien ! Si l’employeur veut le former
à ses objectifs, qu’il le forme à ses frais et il le gardera !
Mais assez de Tuc,
Ces, Cec, Ceq, Cei, Cea, et de tous ces contrats bidon, parking, qui
sont autant de prétextes à baisser le coût du travail,
N’autorisons que du
vrai travail, de vrais emplois ! Renforcons les droits du Cdi
pour toutes et tous, et rendons les autres contrats exceptionnels ou
interdits !
2°) Ou un "contrat
sécurité insertion" (Laurent Fabius)
C’est l’idée avancée
le 29 janvier par Laurent Fabius etait l’idée d’un "contrat sécurité
insertion" pour contrer le projet du gouvernement de Contrat
première embauche (CPE). "Nous avons raison de
critiquer le CPE, mais qu’est-ce qu’on met à la place ?", a
demandé Laurent Fabius, ajoutant : "Nous pouvons
lancer l’idée d’un contrat sécurité insertion qui s’oppose terme à
terme au CPE". "L’entrée de ce dispositif
garantira une rémunération" et donnera lieu "aux
droits sociaux", a-t-il précisé. Les entreprises qui
embaucheront avec ce contrat "bénéficieront d’une aide
financière", a poursuivi l’ancien Premier ministre pour qui ce
contrat ouvre la voie à des CDI (contrats à durée indéterminée).
Laurent Fabius,
candidat à l’investiture socialiste pour 2007, a également proposé
d’encourager "le tutorat". Selon lui, ce
dispositif serait l’objet d’une négociation interprofessionnelle
puis de discussions par branche.
Reconnaissant que la
mobilisation contre le CPE était "difficile".
Laurent Fabius a affirmé que ce contrat, rebaptisé par lui "contrat précarité exclusion", s’il entrait en
vigueur, concernerait à terme "tous les salariés"
et non pas seulement les jeunes. Il a opposé "une
société inégalitaire" créée par la droite à une "société solidaire".
- Critique :
formule différente et concurrente de celle de François Hollande,
présidentielle oblige, et synthèse ne compte pas... Mais de quoi
est-elle faite ?
Un contrat qui
s’oppose « terme à terme » au Cpe, qu’est-ce que c’est,
sinon une Cdi renforcé, avec une interdiction de la précarité indûe,
et des licenciements abusifs.
Il y a trop de
salariés licenciés injustement, scandaleusement dans ce pays, et qui
n’osent pas, ne peuvent, pas, ne savent pas, ne vont pas se défendre
aux prud’hommes, il faudrait infliger à tous ceux qui choisissent
d’exploiter le travail des autres et de les embaucher, des règles du
jeu plus strictes, pour restaurer l’état de droit dans les
entreprises et réduire la délinquance patronale ! Il faut
interdire la précarité, sauf circonstances exceptionnelles et dument
motivées, et il faut mieux contrôler les licenciements. Cela, Laurent Fabius ne le défend pas davantage que
François Hollande, hélas...
Ce n’est pas une
« négociation interprofessionnelle » par branche qui
réglera la problème car le Medef ne veut pas négocier : est ce
que Villepibn, lui a organisé une « négociation
interprofessionnelle » ? Non, il est passé par la loi, et
c’est par la loi qu’il faudra passer pour abroger les effets de sa
politique et en imposer une contraire !
3°) Ou un contrat
« Entrée dans la vie active » baptisé « Eva »
(Martine Aubry)
Un troisième plan
encore plus complexe a été élaboré par Martine Aubry.
EVA, pour
« Entrée dans la vie active », a été présenté par Martine
Aubry devant la commission nationale du projet du PS pour 2007,
consacrée aux politiques de l’emploi, qui s’est réunie, à huis clos,
le 29 février. Ce serait « l’inverse absolu du
CPE. La droite dit aux jeunes que plus ils seront flexibles mieux ce
sera. Elle les méprise et les insécurise. Nous nous inscrivons au
contraire dans une logique de confiance en cherchant à sécuriser
l’arrivée des jeunes dans l’emploi. Avec, en contrepartie, un
certain nombre de devoirs ».
Le dispositif consiste
à proposer aux 18-25 ans, étudiants, en recherche d’emploi ou
salariés précaires, une « indemnisation
mensuelle ». Cela répondrait à la revendication exprimée
depuis des années par la branche jeune du PS d’une « allocation autonomie ».
« Universelle » dans son principe, son montant pourrait
varier en fonction de l’âge, du revenu des parents ou de la
situation du jeune concerné (en cours de formation, au chômage,
employé à temps partiel, emploi à temps plein mais peu rémunéré...).
Il ne s’agirait ni d’un RMI jeune, ni d’une simple bourse, pas
davantage d’une forme supplémentaire d’assistanat. « C’est une refonte totale » des aides
actuelles (via les aides personnalisées au logement, les bourses, le
quotient familial). Selon Martine Aubry, celles-ci ont
l’inconvénient de bénéficier davantage aux milieux favorisés qu’aux
autres.
Outre cette nouvelle
allocation, les jeunes bénéficieraient aussi de droits à une
formation qualifiante pour valider les acquis de leurs expériences
professionnelles. Et ils pourraient s’appuyer sur un « parrain » pour assurer leur suivi. En
face de ces droits, il y aurait « des
devoirs » imposés aux jeunes indemnisés : obligation
de suivre une formation, recherche d’insertion... et un
« service civil obligatoire » dont se sont emparées droite
et gauche.
Si Martine Aubry
revendique la logique anti-CPE de ce dispositif, elle précise qu’il
ne s’agit que d’un aspect de la réforme du « statut de l’actif » dont elle a exposé
les grandes lignes lors de la réunion de la commission nationale du
projet. En toile de fond de la réflexion du PS figure la
sécurisation des parcours professionnels. Ce chantier complexe
prendra du temps et supposera une longue négociation avec les
syndicats et le patronat. Aubry propose néanmoins « de commencer avec les jeunes, EVA n’étant que le
premier étage de la fusée ». La maire de Lille a par
exemple également mis sur la table l’idée d’en finir avec la
distinction entre Rmistes et chômeurs pour créer un système
d’indemnisation commun. « Mais le préalable,
c’est de créer les conditions d’une croissance créatrice
d’emplois », insiste l’ex-ministre. En gros, de s’inscrire
en matière de politique économique dans les pas de Lionel Jospin.
- Critique :
C’est une usine a gaz qui n’est pas simplifiée par le sigle
« eva ».
Assez de eva et de
beta !
D’accord pour une « allocation autonomie » pour tous les
étudiants et jeunes en formation, sur critères universitaires !
D’accord pour faciliter les formations initiales jusqu’au plus haut
niveau ! (Et en comptant ces années-là dans les annuités
retraites !)
Mais autre chose sont
ces « étages » de fusée, qui alignent
des nouveaux Tuc, Ces, Cec, etc... avec des “parrains”, des « indemnités », des « devoirs » et des « services civils » : ce à quoi ont
droit les jeunes c’est à un travail, un vrai, et les employeurs
n’ont pas à tourner autour du pot, s’ils veulent produire, s’ils
veulent exploiter le travail de leurs salariés, qu’ils embauchent et
qu’ils embauchent vraiment, pas à demi tarif, pas à demi temps, pas
à demi !
Qu’ils fassent leur
métier, qu’ils recrutent et qu’ils forment ! Les bénéfices des
entreprises n’ont jamais été aussi énormes, ils le peuvent, le reste
est du chantage a l’emploi, au salaire, pour le seul compte des
actionnaires ! Ce n’est pas es usines a gaz avec des « parrains » ( même la formation des
maîtres d’apprentissage a été supprimée par Balladur en 1994 sans
être restaurée par la gauche ... et 2 apprentis sur 3 ne finissent
pas leur apprentissage parce qu’ils sont mal formés et mal payés...)
4°) Les 35 h, ce n’est pas
la question ? (Ségolène Royal)
Dans une interview au
Financial Times, Ségoléne Royal affirme son
admiration à peine voilée pour Tony Blair "qui n’a pas
fait que des erreurs", notamment en matière d’emploi des jeunes,
en combinant flexibilité et sécurité . Elle poursuit en déclarant
s’affranchir de tous les tabous, y compris sur les 35 h. La deuxième
phase, c’est une apparition très médiatisée au salon de la
chaussure, afin d’assurer aux charentaises une promotion en petits
carreaux. Et, selon Le Monde, lors de la réunion
de la commission du projet, qui réunit chaque mercredi tous les
"éléphants", le sujet a indirectement été abordé à la mi-janvier.
Devant ses pairs,
Mme Royal a soutenu l’idée qu’il fallait les imposer "dans l’enseignement". "Il faudra de forts contacts avec
les organisations syndicales", a alors souligné un participant.
"Oui, car il y aura de fortes manifestations", a
ironisé François Hollande devant un auditoire détendu qui a
immédiatement fait le parallèle avec les déboires de Claude Allègre.
- Critique : La
pire des bourdes, c’est bien de dire qu’on admire Tony Blair, « qu’on n’abrogera pas les mesures de la droite par
plaisir », que les 35 h, c’est pas sa tasse de thé, qu’on
ne fera les 35 h que dans l’enseignement, et de ne rien trouver à
proposer d’alternatif aux Cne, et Cpe...
Pourtant, même dans
ses pires formulations, la synthèse du Mans envisageait d’abroger
les mesures de la droite : comme quoi le débat n’a pas été clos
là-bas, il n’ a même pas progressé, il aboutit à quatre versions
différentes, sur un seul thème...
Ce ne sont pas des
« états généraux » internes au Ps, étalés, et saucissonnés
en « thèmes » pré découpés, qui vont régler ce problème de
mars à mai : la gauche a besoin d’unité et de
programme, mais encore faudrait-il entendre le peuple de gauche et
ne pas recommencer l’autisme comme avant le 21
avril 2002 et le 29 mai 2005.
Marc Dolez et Gérard
Filoche, et leurs amis dans le Parti socialiste, rédigent un
« projet socialiste » qui est simple et propose une vraie
alternative qui correspond aux attentes de la gauche et non pas aux
guéguerres entre présidentiables, ni à ces
« contre-propositions » improvisées ci-dessus.
Ce projet de
« Force militante pour la démocratie et le socialisme »
(FM D&S) sera porté à la connaissance du parti dés le Conseil
national du 11 mars, et sera soumis au vote aux dates prévues par le
calendrier du parti entre le 30 mai et le 7 juin... pour la
convention nationale du 17 juin...
Gérard Filoche,
Inspecteur du Travail, membre du PS, pour Démocratie & Socialisme http://www.democratie-socialisme.org/
Prochaines réunions
avec Gérard Filoche, Inspecteur du Travail sur le thème :
« Le
droit du travail en danger » “Cne, cpe, cdi, code du travail
démantelé et inspection du travail menacés”
* Grenoble : le 7 mars *
Morlaix : le 10 mars (Attac) * Albi : le 14 mars (PS)
* Castres : le 15 mars (Attac) * Angoulème : le 17
mars (PS) * Le Mans : le 18 mars (Monde Diplo) *
Leers : le 20 mars (PS) * Paris : les 21 et 22 mars
(Etats Généraux de l’inspection du travail) * Tours : le 23
mars (Attac) * Bordeaux : le 24 mars (Attac) *
Fontenay-le-Comte : le 25 mars (Attac) * Angers : le 29
mars (PS) * Corrèze : le 31 mars (PS) * Aubenas : le
7 avril (PS) * Colombes : le 13 avril (PS) *
Béziers : le 30 avril * Villeurbanne : le 18 mai *
Rive de Gier : le 1 juillet (PS)
( Arrêtons la guerre en Iran avant qu’elle ne commence,
par Gary Leupp. )
Pourquoi
attaquent-ils le CDI et pourquoi faut-il le défendre ? par
Gérard Filoche.
CPE : Dix arguments de M. de Villepin et
dix réponses, par Gérard Filoche.
CPE : 16 arguments sur les Cdd et les Cpe
comparés / Villepin ne lutte pas contre le chômage, il freine son recul, par Gérard Filoche.
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Des infos et vos expériences du CNE/CPE : « Victimes du CNE ». ( Groupe en création
) http://groups.google.fr/group/victimes_cne
Témoignages Contrat Nouvelle Embauche.
Code
du Travail, Inspection du travail : La vérité sur les
« réformes » du gouvernement, par UNAS-CGT- inspecteurs du
travail.
Le site
de mobilisation jeune anti-Cpe :
www.stopcpe.net/dotclear1.2.3
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