Archives de catégorie : MANIFESTATIONS

CAMPAGNE NATIONALE d’AFFICHage :  » HARCELEMENT DES EXILE.E.S PAR L’ETAT FRANÇAIS » 24-01-2022

L’idée de départ est venue du groupe des amis de Anaïs et Ludovic grévistes de la faim à Calais en octobre / nov 2021. Surpris par les nombreux témoignages de soutien arrivés des 4 coins de France et d’Europe, ils ont voulu prolonger les dénonciations du harcèlement par une opération nationale.

L’organisation générale, la mise en page des affiches est gérée par le groupe de Calais pour en assurer l’uniformité.

5 TERRITOIRES DE TEMOIGNAGE :

Briançon-Chambéry // Calais – Grande-Synthe // Paris // La Roya-Nice-Menton // Le Pays Basque

4 AFFICHES AVEC SLOGANS PAR TERRITOIRE – pour le Bays-Basque :

N°1 ; A LA FRONTIERE FRANCO-ESPAGNOLE LES EXILE.E.S SE NOIENT DANS LA BIDASOA
N°1 : FRANTSES ETA ESPAINIAR MUGAN ETORKINAK BIDASOAN ITOTZEN DIRA

N° 2 : AU PAYS BASQUE FERMETURES DES FRONTIERES = VIES EN DANGER
N° 2 : EUSKAL HERRIAN, MUGA HETSIAK = BIZIAK ARRISKUA

N° 3 : AU PAYS BASQUE L’ETAT FRANCAIS REFOULE AUSSI LES MINEURS
N°3 : EUSKAL HERRIAN FRANTSES ESTATUAK ADINGABEAK ERE KAMPORATZEN DITU

N° 4 : AU PAYS BASQUE LES EXILE.E.S MEURENT SUR LES VOIES FERRES
N° 4 : EUSKAL HERRIAN ERBESTERATUAK TRENBIDEETAN HILTZEN DIRA

La campagne se compose donc de 20 affiches en français + les 4 nôtres imprimées aussi en basque donc 24 affiches différentes

Manifestation contre le G7 du 13 juillet 2019

La première grande manifestation contre le G7 s’est tenue le 13 juillet 2019 à Biarritz. A l’appel de le plateforme G7 Ez !, de nombreuses organisations se sont retrouvées à la Gare du midi pour une manifestation festive, colorée et pour un premier acte de force contre le G7.

Des organisations altermondialistes, dont ATTAC bien entendu, des associations, des partis politiques, des syndicats, nationaux, locaux, abertzale, toute cette diversité a permis de former un cortège de 1.000 à 1.500 personnes qui ont marché pendant 1h30 dans le centre-ville afin de dénoncer le G7 et son monde. Plusieurs opérations et animations ont également eu lieu :

  • le franchissement de la frontière symbolisant la zone rouge du G7, la seule fois où cela sera possible avant septembre prochain
  • des caricatures des 7 chefs d’états servant de cibles pour les manifestants qui leur ont lancé des oeufs de peinture
  • une opération d’exorcisme pour débarrasser Biarritz de ses stigmates néolibéraux
  • une prise de parole finale pour appeler à rejoindre le contre-sommet qui se tiendra du 19 au 25 août sur les communes d’Urrugne/Hendaye/Irun.

Sans oublier bien sur le magnifique défilé des miss catastrophes, grimées, déguisées, virulentes et pétillantes qui ont également accompagné le cortège de leurs slogans ! Miss Gardane et ses tartines de boues rouges étalées jusqu’à Bayonne, miss Fukushima qui permet au Japon de rayonner comme en 1945, Miss Bure qu’on voudrait ne jamais oublier, Miss Tchernobyl qui brille sous son arche à 1,500 Md €, la sulfureuse miss Kawa Ijen, la gazeuse miss Alberta, miss Bayer-Monsanto en chanson, la scintillante miss Rosia Montana… et comme pour tout les défilés de mode, le superbe final avec la mariée Noire et ses hydrocarbures et produits dérivés.

Nos miss se sont courageusement présentées à la vindicte populaire pour défendre leur bilan : investissements dans le BTP par milliards, économies sur le retraitement et sur la sécurité nucléaire sans précédent, optimisation des coûts de production record dans l’extraction de matières premières, nouvelles ressources d’énergie fossile optimisées. Alors bien sûr, cela s’est accompagné de quelques désastres écologiques et sociaux, de la disparition de zones naturelles, de scandales sanitaires, mais comme il a été dit et sera certainement dit lors du G7 « quand le bâtiment va, tout va » !

Si vous aussi, vous souhaitez soutenir ces miss, le G7 vous est ouvert. Si au contraire, leur bilan vous répugne, nous vous donnons rendez-vous :

  • les 19 et 20 août pour nous aider à monter le camp alternatif à Urrugne, et jusqu’au 25 pour y résider,
  • du 21 au 23 août, sur le village alternatif et au Ficoba entre Hendaye et Irun,
  • le 24 août pour la manifestation finale à Hendaye,
  • et le 25 août pour une grande opération de désobéissance civile sur la zone « arc-en-ciel » encerclant Biarritz.

A très bientôt dans le Pays Basque.

Manifestation contre le G7 le 13 juillet 2019

Du 24 au 26 août, sept chefs d’État les plus riches de la planète (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie, Canada) se retrouvent à Biarritz, sous la présidence de la France. Ces sept puissances, de plus en plus autoritaires et bellicistes, se retrouveront pour perpétuer un système au service des plus riches et des multinationales. Ils mettent le feu à la planète, augmentant les inégalités et la pauvreté qu’ils ont générées et qu’ils entretiennent, détruisant le vivant et le climat, au mépris des droits humains fondamentaux. Avec un cynisme à toute épreuve, ils déclarent se donner comme objectif la lutte contre les inégalités. Face à l’écran de fumée de leurs beaux discours, nous leur opposerons l’urgence sociale et écologique.

Contre le G7 et pour un autre monde premier rendez-vous un mois avant le sommet, le samedi 13 juillet à Biarritz à 17h (Gare du Midi).

Du 19 au 26 août, nous organisons un contre-sommet au Pays Basque. Au programme : construction d’alternatives solidaires, écologiques, humaines, féministes, anti-racistes, décoloniales, et anti-impérialistes, grande manifestation et actions diverses.
Rejoignez les mobilisations du 19 au 26 août organisées à partir d’Hendaye-Irun !

PARTAGEZ MASSIVEMENT !

Appel pour l’annulation des mesures liberticides du 18 mars

Un appel signé par plus de trente organisations (syndicats, associations, médias, collectifs citoyens, forces politiques, élus et groupes politiques) et des personnalités :

Un nouveau seuil a été franchi dans la dérive autoritaire du gouvernement. Après l’inscription de l’état d’urgence dans le droit commun, l’adoption du projet de loi « anti-manifestant·e·s » qui accroît les mesures liberticides vis-à-vis des manifestant·e·s et des Gilets Jaunes, nous apprenons que l’exécutif souhaite mobiliser les militaires de l’opération Sentinelle pour intervenir face aux mobilisations sociales. Un État de droit, une démocratie, la République ne sauraient accepter que l’armée se retrouve face au peuple, comme s’il était un ennemi, comme si la guerre civile était déclarée.

L’ONU a déjà mis en garde la France, pays de la déclaration des Droits de l’Homme, pour ses manquements à ses engagements pour les libertés fondamentales. Beaucoup connaissent l’aggravation de cette situation depuis longtemps, que ce soient les migrant·e·s, les quartiers populaires, qui ont été le champ d’expérimentation d’un maintien de l’ordre souvent en dehors des principes de l’État de droit. La situation prend cependant une gravité inédite. La pénalisation du mouvement social, écologiste et syndical, le mépris au regard des contre-pouvoirs, est une façon d’empêcher tout dialogue, toute issue positive aux crises de notre époque.

Face aux destructions de bâtiments ou autres actes de violence, le gouvernement ne doit pas jouer aux pompiers pyromanes mais faire preuve de responsabilité. Il est temps de penser les conditions de la désescalade. Pour cesser de nourrir la tension, l’État a le devoir d’en finir avec les provocations et le recours à un arsenal sécuritaire aussi exponentiel qu’inefficace, comme il le fait depuis des semaines vis-à-vis des gilets jaunes. Il est intolérable que des armes dangereuses, dont nous réclamons l’interdiction, aient tant blessé, estropié de manifestant·e·s. Le bilan est déjà tragique et historique. Le droit fondamental de manifester se trouve maintenant clairement menacé. Nous refusons cette menace, y compris dès le samedi 23 mars.

La baisse des tensions que nous souhaitons suppose également que les pouvoirs publics répondent concrètement aux aspirations qui s’expriment largement dans le pays pour la justice sociale, pour une vie digne pour chacune et chacun, pour la lutte contre le mortifère réchauffement climatique.

Nous appelons toutes les forces vives progressistes du pays, attachées aux libertés publiques, à faire cause commune pour que le gouvernement change de ton et de réponse, pour que la démocratie ne soit pas bafouée mais renforcée, pour le retrait de la loi anti-manifestants, et l’annulation des mesures liberticides annoncées ce lundi 18 mars par le Premier ministre.

Nous prenons date en ce jour pour une nouvelle réunion plus large encore jeudi 28 mars afin d’y prendre ensemble des initiatives.

Signataires :

ANV-COP 21 ;
ATTAC ;
Comité Justice pour Adama ;
Coopérative Ecologie Sociale ;
Le DAL ;
EELV ;
Ensemble ;
Gauche républicaine et socialiste
Génération.s ;
L’Humanité ;
L’UNEF ;
L’Union Nationale Lycéenne ;
La Chapelle Debout ;
La France insoumise ;
La FSU ;
Là-Bas si j’y suis ;
La Gauche Républicaine et Socialiste (GRS) ;
Le groupe de la Gauche démocrate et Républicaine ;
Le groupe parlementaire de la France Insoumise ;
Le Mouvement National Lycéen ;
Le Parti Communiste Français ;
Le Nouveau Parti Anticapitaliste ;
Le Parti communiste des ouvriers de France ;
Le Parti de Gauche ;
Le Parti Ouvrier indépendant ;
Le Parti Ouvrier indépendant démocratique ;
Le SNES ;
Le Syndicat de la Magistrature ;
Le Syndicat des avocats de France ;
Les Amis de la Terre ;
Regards ;
Solidaires ;
Sud Postes 92 ;
Union Syndicale Solidaires ;

Jean-Félix Acquaviva, Député de Corse ;
Taha Bouhafs, Journaliste ;
Paul André Colombani, Député de Corse ;
Marie-Noëlle Lienemann, Sénatrice ;
Bénédicte Monville, Conseillère régionale d’ile de France
Jean-Marc Salmon, chercheur

D’autres signataires devraient rejoindre cet appel. Une prochaine réunion aura lieu le 28 mars pour décider d’initiatives communes.

Bilan de la marche du Siècle du 16 mars 2019 : vers une radicalité écologique et sociale

La Marche du Siècle du 16 mars fait partie d’une série de marches pour le climat qui ont débuté en septembre 2018. C’est la 5ème d’une série qui s’annonce longue et qui s’étend progressivement à l’international. Lors de ce 5ème acte, il y aura eu en en France des centaines de milliers de manifestants répartis sur plus de 200 sites ; plus de 150.000 étudiants, lycéens et grévistes le 15 mars ; près de 350.000 manifestants le 16 mars.
Une convergence évidente entre « fin du monde » et « fin du mois », les Gilets Jaunes ont répondu présents sur pratiquement tous les sites.

Et après ?

Les journalistes retiennent en priorité les images de casse et de violence qui tournent en boucle sur Paris et les grandes agglomérations. Outre qu’on ne sait pas toujours bien qui en aura été l’origine (le Fouquet’s aurait été incendié par des galets de lacrymogène tirés par la police), elles ne résument ni les revendications écologiques, ni la somme de manifestants pacifiques.

Dans de nombreuses autres villes de province, les marches ont été largement rejointes par des Gilets Jaunes, des militants ou de simples citoyens sensibilisés à l’urgence climatique. Elles se sont déroulées dans le calme, avec des prises de paroles, des actions symboliques, du tractage et des échanges productifs entre groupes.

Et pour quel effet ?

Non seulement ces marches pacifiques sont pratiquement inaudibles, mais même localement elles n’auront eu qu’un impact limité sur les rares spectateurs et passants pressés qui avaient surtout pour objectif d’aller faire leurs courses et de rejoindre le centre commercial le plus proche. Surtout, elles n’auront eu aucun effet sur nos politiques qui ont aujourd’hui le beau rôle et expliquent à quel point ils sont , comme les manifestants, sensibles au dérèglement climatique sans avoir jamais pris une décision efficace sur le sujet. Macron, le soi-disant champion de la Terre, a reçu la petite Thunberg à l’Elysée ? La belle affaire ! Un divertissement supplémentaire pour les éditorialistes.

Donc oui, il est important de nous compter et de montrer notre mobilisation lors des grandes manifestations. Mais l’urgence écologique et climatique nous demande d’être plus que mobilisés : il nous faut être efficaces. Mais que faire quand on ne veut pas incendier de banques ni passer son temps à marcher inutilement ?

Changer nos pratiques individuelles de consommation et nos modes de vie ? On le voit bien, à l’instar des marches pacifiques, ça ne sert à rien. Les appels aux boycotts ne fonctionnent que trop rarement et toujours trop lentement, même s’il y a quelques cas intéressants : Ferrero par exemple, qui perd des parts de marchés avec le Nutella à l’huile de palme et commence à s’inquiéter mais ne change toujours pas de politique.

Changer de pratique de consommation à l’échelle nationale ? C’est trop lent. Nos nouvelles échelles de temps (l’immédiateté de type internet ou livraison express) et d’espace (notre capacité à nous déplacer sur des distances énormes) nous imposent un bilan carbone désastreux mais sont trop ancrées. Elles conditionnent de plus, pour une bonne partie d’entre nous, la façon dont nous sommes obligés de travailler et de vivre au quotidien. Au mieux, ces pratiques individuelles épargneront la honte à quelques-uns qui ont la chance de pouvoir suivre leur idéal. Mais combien en ont seulement les moyens ? Pas suffisamment, et il est hors de question de stigmatiser ceux qui sont obligé de faire 2h de transport pour aller travailler ou qui n’ont pas les moyens d’acheter du Bio, ni de les punir pour les fautes d’un système pervers.

Il faut donc s’attaquer à la racine du problème : imposer une politique permettant la transition énergétique et écologique, et qui intègre dans nos politiques publiques les notions de coûts écologiques, de services écosystémiques, en taxant de façon juste les principaux pollueurs et en accompagnant les entreprises et les citoyens pour éviter de tomber dans l’injustice et l’autoritarisme sous prétexte que la cause écologique est juste. Et pour cela, il faut plus que des marches, largement inefficaces, plus qu’un mode de vie responsable, impossible à suivre pour la plupart d’entre nous : il faut imposer notre volonté à nos gouvernements en s’opposant massivement au système actuel.

Rejoignons les ZAD, les associations de protection de l’environnement, les associations altermondialistes qui sont actuellement les seules à offrir un réel contre-pouvoir aux pollueurs, aux aménageurs et à l’Etat qui les soutient. Bloquons les activités écocides, comme les grands projets routiers, les infrastructures productrices de carbone ou consommatrices d’espaces naturels, les fabricants de pesticides, les banques qui financent ces activités. Occupons les sites symboles de notre économie mortifère : les centres commerciaux, les centres logistiques d’e-commerce, les raffineries, les aéroports, les autoroutes… Mobilisons-nous autour des centres de décisions qui n’ont jamais assumé leur rôle dans la protection de l’environnement : les collectivités territoriales, les ministères, les services déconcentrés, les établissements publiques. L’anthropocène, le capitalocène ne sont pas des fatalités, ces ères sont trop récentes pour être irréversibles et elles ont leur faille : le (non)consentement populaire.

On peut être non-violent et radical. C’est cette radicalité qu’il nous faut maintenant mettre en œuvre. Les Gilets Jaunes nous ont montré que nous n’étions pas une nation serpillère qu’on pouvait essorer sans conséquences. Avec eux, il nous faut maintenant démontrer que cette colère et cette radicalité peuvent être efficaces. Les actions et revendications de justice sociale et écologique ont les mêmes fondements, elles avanceront selon les mêmes rythmes et les mêmes modalités en se renforçant entre elles. Plus que des marches, il nous faut maintenant passer à l’action radicale.

Laurent THIEULLE, pour le CA ATTAC Pays Basque

Crédit photo : ATTAC Pays Basque – plantation d’un arbre sur la zone récemment défrichée du Séqué pour dénoncer la perte d’un des derniers espaces forestiers de Bayonne (action du Collectif des associations de défense de l’environnement – Marche du siècle, 16 mars 2019)

Pour stopper TAFTA CETA

Nous avons besoin de vous pour stopper le TAFTA et le CETA
Après plusieurs années de mobilisation des deux cotés de l’Atlantique, nous sommes parvenus à mettre de sérieux bâtons dans les roues du TAFTA, le projet d’accord qui vise à libéraliser les échanges commerciaux et les investissements entre les États-Unis et l’Union européenne. Mais l’Union européenne s’apprête à signer un traité similaire avec le Canada : le CETA. Celui-ci doit recevoir l’approbation des États membres le 18 octobre prochain. S’il est approuvé, il sera soumis à la ratification du Parlement européen dans les mois suivants.
Pour stopper le CETA, des mobilisations s’organisent dans toute l’Europe au cours de l’automne. Des marches en Allemagne, en Autriche ou en Belgique ont déjà réunis des centaines de milliers de personnes. D’autres sont prévues à Amsterdam, Athènes, Copenhague, Dublin ou encore Madrid…
En France, le collectif Stop TAFTA organise une journée d’actions Stop TAFTA & CETA le 15 octobre prochain . Des actions sont déjà prévues à Aix-en-Provence, Annecy, Bayonne, Boulogne-sur-Mer, La Rochelle, La-Roche-sur-Yon, Lyon, Montfort-en-Chalosse, Nancy, Rennes, Nantes ou Saint-Étienne, d’autres sont en cours de préparation. À Paris une marche partira à 15 h 30 de la place Stalingrad pour rejoindre la place de la République. La marche sera organisée en 4 cortèges thématiques : agriculture & alimentation – climat – démocratie & solidarité internationale – emploi & services publics. Nous tiendrons une assemblée citoyenne place de la République et nous terminerons la soirée avec un Opéra joué par Orchestre debout.
Vous êtes près de 65 000 personnes à recevoir ce courriel parce que vous avez signé l’appel « hors TAFTA », l’initiative citoyenne européenne ou la pétition demandant à François Hollande de mettre un terme aux accords transatlantiques. Désormais c’est dans la rue que nous avons besoin de vous pour garantir la démocratie, développer la solidarité internationale, défendre la culture, sauvegarder les services publics, défendre l’emploi, soutenir l’agriculture paysanne, sauver le climat, protéger notre alimentation et notre santé !
On a toutes et tous une bonne raison de s’opposer au TAFTA et au CETA ;
Alors le 15 octobre, toutes et tous mobilisé⋅e⋅s
Relayez la mobilisation !
Pour vous informer et relayer la mobilisation autour de vous :
> Toutes les informations sur la mobilisation du 15 octobre partout en France
> Des centaines de milliers de personnes manifestent dans toute l’Europe contre le CETA
> Inscrivez-vous et relayer la mobilisation à Paris (Facebook)
> Signez et relayez la pétition « TAFTA, CETA : demandez à François Hollande de mettre un terme aux accords transatlantiques ! »
> Suivez la mobilisation en Europe : stopceta.net
> Suivez-nous sur les réseaux sociaux : @StopTAFTA – Facebook.

AlterVillage d’Attac. Édition 2016

les inscriptions sont ouvertes pour l’édition 2016 !
Du 14 au 21 juillet dans l’Indre

Cher·e·s adhérent·e·s d’Attac,
L’édition 2016 de l’AlterVillage aura lieu du 14 au 21 juillet, au Relais des Pas Sages, lieu associatif au sein d’une ferme de l’Indre, près de Châteauroux. Ce village alternatif permet une réflexion sur les enjeux actuels, les formes d‘actions et les pratiques militantes. Cette année, au programme : démocratie participative, logiciel libre, susciter la mobilisation, monnaies locales, permaculture, alternatives agricoles locales, luttes et droits des femmes, fraude fiscale, artivisme… chantier participatif, forum ouvert… soirées pour se retrouver, danser, partager ses talents…
L’AlterVillage est un espace temporaire où s’organise une vie collective, on y fait l’apprentissage du vivre ensemble et de la prise de responsabilités collectives : ici, ni organisateur ni consommateur, mais tous acteurs ! C’est une occasion de mettre en adéquation nos idées et nos modes de vie, d’expérimenter l’intelligence collective à partir des principes de non-violence, d’autogestion et du refus de tout comportement discriminatoire.
Les inscriptions sont désormais ouvertes ! Le formulaire d’inscription est accessible dès à présent.
Informations pratiques
L’adresse exacte du lieu qui nous accueille est :
Le Relais
36180 Pellevoisin
La forme principale d’hébergement se fera sous la tente ou dans son véhicule, autour de la ferme.
Un hébergement en dur est possible, une quinzaine de lits sont disponibles, deux options sont proposées :
> 8 € par nuit en dortoir de 6-7 lits ;
> 12 € par nuit en chambre d’hôte (2 ou 3 lits par chambre).
Cette forme d’hébergement est possible dans la limite des places disponibles ! Indiquez votre demande dans le formulaire d’inscription en cochant la case « Vous souhaitez réserver un lit ».
Concernant l’alimentation, inutile d’apporter votre nourriture et vos boissons ! Les repas seront cuisinés de façon collective par les participant·e·s de l’AlterVillage. Le prix du repas est libre, c’est-à-dire que chacun·e donne ce qu’il veut et/ou ce qu’il peut.
Nous estimons à une douzaine d’euros les frais réels de participation par jour et par personne : petit-déjeuner, déjeuner, dîner, électricité, eau et frais divers.
Nous utiliserons des douches solaires et des toilettes sèches : les deux premières journées, les vendredi 15 et samedi 16 juillet, seront l’occasion d’installer les sanitaires !
Le programme jour par jour est accessible sur le site d’Attac (mises à jour à venir dans le courant du mois).
Pour toute demande d’information complémentaire, vous pouvez contacter l’équipe de préparation de l’AlterVillage à l’adresse altervillage@attac.org.
Au plaisir de vous y retrouver !