Nantes, le mercredi soir 26 novembre 2008,
Madame, Monsieur le rédacteur en chef,
Déjà une année nous sépare du 27 novembre 2007, alors que la police avait gravement réprimé une manifestation de jeunes au Rectorat de Nantes, causant une invalidité permanente à l’oeil sur notre fils, alors lycéen, toujours actuellement mineur.
Nous avons porté plainte le 6 décembre 2007. En juin 2008, le Procureur de la République a décidé de ne pas classer cette plainte sans suite. Il a décidé de saisir deux juges (...)