La proposition de directive sur les services de la Commission européenne est une machine de guerre contre le droit du travail, contre les services publics, contre la sécurité sociale, contre la capacité d’action des pouvoirs locaux. C’est un instrument de régression sociale qui entend détruire une société où la solidarité demeure un objectif au profit d’une société du chacun pour soi.
Son rejet doit être l’objectif prioritaire de celles et ceux qui entendent privilégier la dignité à laquelle chaque être (...)