Les parlementaires ont voté en congrès la modification de la constitution préalable à la ratification du traité de Lisbonne. Ainsi ils ont validé la forfaiture présidentielle consistant à imposer au peuple français le traité rejeté par celui-ci en 2005.
Il s’agit là d’un des plus graves coups portés à la démocratie dans notre pays, avec la complicité de la plupart des députés et sénateurs.
Ceux-ci avaient pourtant la possibilité de bloquer le processus et d’imposer un référendum au président de la République (...)