Fin août, l’Université d’été d’Attac a été l’occasion de faire le point sur les grands axes de notre action, de définir les urgences, mais aussi de tracer les voies d’une présence à plus long terme. Si elle s’est achevée sur un appel à s’opposer aux traités européens en préparation, et singulièrement le fameux TSCG et son pendant le MES, elle n’a pas oublié pour autant de donner des éléments pour penser et mettre en œuvre les diverses transitions indispensables.

Mais au-delà, nous devons tous progresser dans la conception des transitions, voire des ruptures qui permettront de sortir de la spirale des crises : financière, économique, écologique, sociale, qui sont les diverses facettes de l’échec du modèle de société capitaliste néolibérale. C’est à partir de cette réflexion que pourront se développer les stratégies et les actions susceptibles de mettre en échec les régressions sociales que nous subissons.

Et toujours : Les 10 raisons de dire non pour rouvrir le débat européen