30 novembre et 1er décembre 2013

Le Hangar, Chalette sur Loing

Programme détaillé du festival

SAMEDI 30 NOVEMBRE

• 11h00 : inauguration du Festival ; Présentation des différentes expositions
• 14h30 – 15h30 Une auteure – Un livre : Laure de Vulpian, journaliste, pour son dernier livre, « Silence Turquoise » sur le Rwanda, où elle révèlera la vérité sur l’opération « humanitaire » Turquoise, confiée à des militaires.
• 16h00 – 17h00 Une auteure – Un livre : Mireille Fanon-Mendès France, présidente de la Fondation Franz Fanon, experte indépendante à l’ONU, nous parlera de certains aspects de l’œuvre de son père. Cinquante ans après la mort de Franz Fanon, sa pensée est un antidote contre le renoncement.
• 17h30 – 18h30 Une auteure – Un livre : Claude Guillaumaud-Pujol, universitaire spécialiste en civilisation américaine, auteure d’une biographie sur Mumia Abu-Jamal et de divers ouvrages sur les prisons états-uniennes pour son livre : « Prisons de Femmes, Janine, Janet et Debbie, une histoire américaine ».
• 20h CONCERT du groupe « Demain la veine », deux femmes / deux voix accompagnées au son de divers instruments (guitare, accordéon, ukulélé …).

DIMANCHE 1er DECEMBRE

• 10h00 – 12h00 Lecture publique : Textes choisis autour du thème « Contre tous les esclavagismes / décolonisons les esprits », (extraits des oeuvres de Franz Fanon, Pablo Neruda, Mahmoud Darwich, Aimé Césaire, Angela Davis, Lionel Trouillot, Rigoberta Menchù, Nelson Mandela).
• 14h30 – 16h00 Deux auteurs – Un livre : Daniel Schneidermann, journaliste et fondateur du site @rrêt sur image et Chloé Delaume, écrivaine, pour leur livre « Où le sang m’appelle ». C’est une autofiction qu’ils ont tirée de leur parcours à la recherche de Georges Ibrahim Abdallah, figure libanaise de la lutte palestinienne, incarcéré en France depuis 1984, oncle de Chloé Delaume.
• 16h30 – 18h30 Deux auteurs – Un débat : Revenu inconditionnel ou salaire universel : jeu de mots ou enjeux réels ? Avec Baptiste Mylondo, enseignant en économie, auteur de « Pour un revenu sans condition », et Samuel Zarka, du Réseau salariat (association d’éducation populaire).