Les dispositifs de formation pour les chômeurs suscitent l’engouement des partis et des syndicats, mais ils ne doivent pas se substituer aux politiques de soutien à l’emploi.
Par Christophe RAMAUX
lundi 08 août 2005
Membre du Conseil scientifique d’Attac-France Maître de conférences en économie à l’université Paris-I
« Sécurité sociale professionnelle », « flexecurité » ou « formation tout au long de la vie » : sous des intitulés variés, on ne compte plus les propositions visant à créer des dispositifs de (...)