En pleine bourrasque financière et boursière, les médias dominants ravalent
leurs trompettes assourdissantes qui naguère ne connaissaient qu’une seule
partition : celle du libéralisme économique.
Les voix s’adoucissent, les gorges se raclent, les explications deviennent
amphigouriques, et les vestes se retournent. Mais cela n’est que provisoire…
Si les médias ont été, et seront demain, au service du capitalisme, c’est
que la structure même de leur financement l’impose. Appartenant à des
groupes (...)