Nicolas Sarkozy, qui assure la présidence de l’Union européenne, tente de faire passer l’énergie nucléaire pour une énergie propre et aurait souhaité faire entrer sa production dans les quotas des énergies renouvelables, fixés en vue de la lutte contre le réchauffement climatique.
Pendant ce temps, la série des dégâts connus, occasionnés par la multinationale AREVA et ses multiples sous-traitantes, ainsi que par l’opacité et l’inefficacité des organismes publics chargés des contrôles, s’allonge : rejets (...)