La question peut paraître provocatrice, à l’heure où le gouvernement de VILLEPIN taille à la hache (d’abordage, pour la SNCM !) dans le vif des services publics. Et d’ailleurs, que de gorges chaudes, dans les " grands " médias nationaux, sur la ringardise absolue des opposants à la privatisation d’EDF ou des sociétés autoroutières, pardon, à " l’ouverture de leur capital " selon l’expression euphémisée qu’affectionnent nos doctes libéraux. Mènerions-nous donc un " combat d’arrière-garde ", comme on a (...)