Patrice a analysé les règlements européens.
Il résume ici cette approche de la sécurité intérieure qui soulève des questions de société.
La mondialisation de la sécurité aujourd’hui ne repose pas – comme on aurait pu le rêver – sur la définition d’un bien commun transcendant la dimension étatique, mais plutôt sur la convergence et l’agrégation des intérêts étatiques autour de risques communs : des murs dissuasifs s’attaquent aux grandes peurs : la pauvreté, le terrorisme, l’immigration...
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