La librairie sera heureuse d’accueillir vendredi 17 janvier à partir de 18h, Valérie brulant et Isabelle Bourboulon à l’occasion de la parution de l’Abécédaire engagé coédité par Les Liens qui Libèrent
Publié à l’occasion des vingt ans d’Attac, ce beau livre se lit comme l’histoire (en train de se faire) des résistances et des alternatives en faveur d’un monde juste, écologique, démocratique et solidaire. Au détour des pages, des images superbes donnent vie aux événements, aux mobilisations et aux actions menées par l’association altermondialiste et ses partenaires au long de ces vingt dernières années. Il s’agit ici de se réapproprier les mots et le désir d’agir qui fondent la possibilité d’un autre monde.
La réponse dans les 17 planches de l’exposé de Michèle Fournier et Anne-Marie Alary au CAC du 14 mai 2003
Depuis plusieurs mois et dans différents pays européens, des organisations de la société civile, des syndicats, des organisations d’agriculteurs, des entrepreneurs, des consommateurs et des élus locaux ont multiplié les appels en faveur d’une démocratisation de la politique commerciale. Ils demandent une refonte complète du processus de négociation et de décision pour les accords de commerce et d’investissement en cours de négociation et à venir.
La portée croissante des nouveaux accords de commerce réduit les marges de manoeuvre politiques des États et impose de nouvelles règles de discipline qui s’appliquent à l’élaboration de l’ensemble despolitiques publiques.
Le CETA et le TAFTA ont illustré à quel point les négociations commerciales et les processus de ratification des accords souffrent d’un cruel déficit de transparence et de contrôle démocratique et font la part belle aux intérêts des plus grandes entreprises.
L’annonce du PDG de Sanofi a le mérite de poser clairement les enjeux : faut-il laisser les laboratoires pharmaceutiques décider de qui aura accès, et à quelles conditions, aux éventuels vaccins et médicaments contre la Covid-19 ? Les réactions outrées de la classe politique ne doivent pas cacher l’essentiel : les mesures à prendre pour ne pas laisser BigPharma maître du jeu.
Ce mardi 28 avril, la Commission européenne a annoncé avoir finalisé des négociations en matière de commerce et d’investissement avec le Mexique. Alors que la pandémie de coronavirus révèle au grand jour les fragilités économiques, sociales et sanitaires engendrées par la mondialisation, et que chaque jour des voix s’élèvent pour appeler à « produire davantage en Europe », la Commission poursuit, comme si de rien n’était, son agenda agressif d’approfondissement de la mondialisation néolibérale en négociant des accords à tour de bras. Le collectif Stop TAFTA/CETA, avec ses partenaires appelle à cesser immédiatement ces négociations et à procéder à une relocalisation écologique et solidaire des activités économiques.
Ce jeudi 30 janvier, s’ouvre la « conférence de financement » sur les retraites. L’objectif affiché par le gouvernement d’Edouard Philippe est de « combler un déficit estimé à 12 milliards d’€ ». En écartant toute hausse ou modification de l’assiette des cotisations, l’exécutif a tracé la voie privilégiée : retarder l’âge de départ à la retraite.
Pourtant, d’autres voies existent qui peuvent permettre à la fois de trouver les 12 milliards recherchés, et même financer une nette amélioration du système de retraites actuel.
Le gouvernement a décidé de passer en force en présentant son projet de loi devant le Parlement. Ce projet, s’il était mis en œuvre, aboutirait à augmenter toujours plus le temps passé au travail et/ou à baisser le niveau des pensions. Cette nouvelle « réforme » représente une rupture par rapport aux précédentes du fait de la modification structurelle du système, mais elle se situe néanmoins dans la même logique qui vise à diminuer les dépenses publiques et ouvrir la voie à la retraite par capitalisation.
Tenir ces objectifs suppose de rompre avec le dogme qui vise à limiter la part des retraites dans la richesse produite, le PIB
Magnifique réunion publique sur la violence d’état avec Geneviève Legay et Maitre Arié Alimi
vidéo de Dominique Fonsèque
Vidéo de Justin Carette ci-dessous
Qu’est-ce que BlackRock ? Pourquoi cette société financière est-elle aussi puissante ? Quels sont ses liens avec les dirigeants politiques ? Et pourquoi s’intéresse-t-elle de si près à l’avenir de notre système de retraite ?
La polémique ne cesse d’enfler : BlackRock joue-t-il un rôle dans les projets de Macron et de son gouvernement sur les retraites ? Le gouvernement s’en défend. Pourtant, le lobbying de BlackRock et les déclarations même de ses dirigeants laissent penser le contraire